en fait je crois que j’écris toujours à partir d’une espèce de trouble, ce moment où on se demande, est-ce que c’est bien ça, non, ce n’est pas ça, et pourtant... On ne sait plus, on est troublé, souvent devant une petite chose que l’on croyait acquise. Et comment prolonger ce trouble dans l’écriture tout en éclaircissant un peu, non, pas vraiment éclaircir mais plutôt déplier le trouble, le laisser s’épanouir comme de la nourriture déshydratée que l’on laisse s’ouvrir dans l’eau
lundi 13 octobre 2014