il y a : elle chausse masque et tuba, glisse dans l’eau. L’eau en dessous est calme, aussi transparente que l’air. Elle s’éloigne d’une dizaine de mètres du bord et reste en arrêt. Derrière la vitre du masque, son regard. Elle est là, en suspens, loin au-dessus de grands blocs, ils sont sombres et immobiles
vendredi 16 septembre 2011, par
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16 septembre 2011, 12:30, par Nicolas Bleusher
Elle remarque ce détail qui va changer sa vie.
18 septembre 2011, 03:48
le brise-lames changent bien des vies
merci pour votre visite nicolas, que diriez-vous d’un vase communicant avec mot maquis en octobre ?
18 septembre 2011, 04:48, par Nicolas Bleusher
Volontiers, Juliette !
Je vous découvre à peine vous m’en excuserez !
J’ai l’habitude de poster mes participations aux oeuvres collectives sur mon blog d’origine : http://nicolasbleusher.wordpress.com
Il faudra nous mettre d’accord sur un thème, je crois.
Je vous laisse parcourir mes deux autres carnets où je suis le plus actif.
http://fragmentsdusoir.wordpress.com et http://lesjardinsdupalais.wordpress.com : différents et, peut-étre, complémentaires, vous donnerons idée de ma façon d’écrire. Je crois que je suis assez opportuniste et je sais faire feu de tous bois ! ;)
Au plaisir, donc.
20 septembre 2011, 11:35
les phares, ça vous tente (sans blague et sans rapport avec le feu de tous bois ! mais pourquoi pas, une piste, je viens justement de lire une histoire de phare qui prend feu) ?
mon mail : juliettemezenc@gmail.com
23 septembre 2011, 22:59, par Nicolas Bleusher
Mon texte est prêt, Juliette. Et votre phare ?